En général, les gens qui ne s’y connaissent pas trop dans ce domaine parlent de « traducteur » et « interprète » en tant que synonymes mais, à vrai dire, l’un et l’autre ont très peu en commun. Il est vrai que les deux métiers sont liés aux langues et à la capacité pour servir de passerelle de communication entre les différentes langues mais, malgré cela, il existe des grandes différences entre les deux métiers qu’on passe à analyser.

2 grandes différences entre les traducteurs et les interprètes

On l’a bien dit, souvent les gens utilisent quotidiennement les mots « interprète » et « traducteur » en tant que synonymes, lorsqu’il s’agit de métiers différents malgré le lien entre eux grâce à leur rapport avec les langues et la capacité pour servir en tant que passerelle de communication entre deux langues. Pour arriver à mieux comprendre l’univers des langues et quelles sont les tâches développées par chaque métier il faut bien connaître les différences entre les deux.

À l’écrit ou à l’oral

La première différence (et la plus visible) entre un traducteur et un interprète porte sur le biais d’expression linguistique avec lequel ils travaillent. D’une part, les interprètes gèrent la langue à l’oral, d’autre part, les traducteurs font le lien entre deux langues à travers les textes écrits. Vous l’avez deviné, chaque professionnel requiert des capacités différentes pour bien mener son travail dans leur domaine.

Besoin de capacités différentes

Si l’on considère que les traducteurs plongent dans le langage à l’écrit tandis que les interprètes font de même à l’oral, les capacités demandées pour bien mener à bout leur tâche sont diverses. Dans le premier cas, une excellente rédaction, orthographe et grammaire sont invités au rendez-vous ; dans le cas des interprètes, la capacité pour comprendre le langage à l’instant et transférer ce qui a été entendu dans une autre langue automatiquement se fait impérative.